Saturday, July 23, 2011

BEIRUT

Beirut, c'est avant tout une histoire de voyage. Il y eut d'abord un premier disque qui faisait découvrir au public du rock indépendant les saveurs nés dans les Balkans chers à Nicolas Bouvier. A peine le temps de se rendre compte que derrière ce Gulag Orkestar se cachait un jeune Américain épris d'Europe mais né au Nouveau mexique et vivant à New York qu'il revenait avec un deuxième disque. Sans s'éloigner outre mesure de ses premiers amours, The Flying Club Cup faisait la part belle à un deuxième amour de Zach Condon, la musique d'expression française en général et Jacques Brel en particulier. Depuis, s'il n'a pas quitté sa trompette, il s'est aventuré au Mexique le temps d'un EP consacré aux musiques funéraires de l'état d'Oaxaca avant de revenir avec un nouvel album cette année.

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