Tuesday, February 10, 2015

Pour Syriza, l'ennemi public n°1 de la Grèce est Allemand


''..Reste que cette demande indigne a au moins un mérite : rappeler que, contrairement à ce que clament les europhobes et les eurosceptiques, la paix n’est pas garantie en Europe, loin de là. On trouvera toujours un dirigeant en difficulté prêt à jouer avec les allumettes de l’histoire pour rallumer de vieux conflits que l’on croyait enterrés (cf. la Hongrie). Syriza offre l’illustration que sans la machine à fabriquer du compromis qu’est l’Union, les vieilles pulsions revanchardes peuvent encore mener au pire. Il ne faut pas oublier que le conflit de 14-18 est parti de la petite Bosnie… Décidément, l’Union a bien mérité son prix Nobel de la paix.''

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