«Bruxelles, ma belle», chantait en 1973 Dick Annegarn, un compositeur néerlandais amoureux de la capitale du Royaume. «Bruxelles, pas belle», écrivais-je dans un article publié dans Libération
du 15 mai 2013, dans lequel je décrivais par le menu le chaos
urbanistique hérité, pour l’essentiel, des années 50-70 et la saleté de
la ville. Deux visions opposées, mais en réalité complémentaires: de
cette anarchie urbaine, en elle-même digne d’intérêt, émerge de
miraculeuses pépites qui ont échappé à la hargne de promoteurs soutenus
par un État qui n’a jamais aimé cette ville qui n’appartient ni aux
Flamands, ni aux Francophones..''
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